La communication durable

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La communication durable n’est-elle pas juste du greenwashing ? On peut légitimement se poser la question tant de nombreuses entreprises saisissent le contexte de l’urgence climatique pour vendre une image, des produits ou des services en actionnant de manière fallacieuse le levier de la responsabilité environnementale.

C’est le propre du greenwashing :  utiliser le marketing et la communication pour se donner une image trompeuse de responsabilité écologique. Les arguments mis en avant ne reposent que sur des actions partielles ou inexistantes et forment un halo mensonger dans l’espoir d’en tirer un bénéfice.

Si cette technique a été possible par le passé elle l’est de moins en moins avec l’éveil de plus en plus important des consciences sur ce sujet. Dès lors il s’agit de mettre ses actes en conformité avec ses paroles, ou plutôt l’inverse : faire d’abord, dire ensuite.

C’est précisément ce que nous proposons, avec iimpact, aux entreprises, petites ou grandes. D’abord mettre en place ou formaliser des pratiques durables dans les dimensions environnementales, économiques et sociales en relation avec les Objectifs du Développement Durable de l’ONU. Puis les communiquer de manière appropriée, en cohérence avec la posture de l’entreprise.

La première étape est celle de l’action. Elle mérite un audit approfondi des actions déjà existantes au sein de l’entreprise. Elle exige ensuite de faire des choix : prioriser des ODD en fonction de la situation actuelle et de la vision à moyen long terme. Elle exige enfin d’agir concrètement à tous les niveaux de l’entreprise. C’est un travail de longue haleine qui exige de la volonté du management et l’engagement des collaborateurs. Ce travail peut déboucher sur une certification comme B Corp, l’une des plus connues de toutes, ou l’adhésion à un programme de type Swiss Triple Impact qui n’est pas une certification mais démontre l’engagement concret de l’entreprise pour ces questions. On le voit de plus en plus dans les critères d’achat ou d’appel d’offre, ces points ne sont plus optionnels mais pénalisent les entreprises qui ne s’engagent pas. Un enjeu business donc.

La deuxième étape est la communication. Le processus d’engagement autant que les résultats doivent pouvoir être communiqués à leur juste mesure, en fonction de la manière dont l’entreprise veut se positionner sur ces sujets, vis-à-vis de l’interne comme de l’externe. À l’interne, c’est un puissant levier de cohésion autant que d’image, au moment où recruter des talents s’avère difficile (la fameuse marque employeur). À l’externe, c’est l’occasion de dire ce qu’on fait et d’en apporter les preuves concrètes, au bénéfice, ne nous cachons pas, de l’image de l’entreprise, et à terme de son business.

La communication durable, comme son nom l’indique n’est donc pas un feu de paille, mais au contraire une manière durable de dire ce que l’on fait concrètement pour créer un monde plus responsable et plus durable.

N’hésitez pas à nous demander un diagnostic sur vos enjeux de RSE et de communication durable, contactez-nous maintenant !

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